C’est donc une journée de repos qui est au programme aujourd’hui. Toutefois, il faut tout de même que j’aille au Vigan.
Pour une fois, je prend mon temps pour prendre mon petit déjeuner et quitter l’hôtel. C’est agréable.
Donc, vers 9h45, je quitte l’hôtel et fais quelques centaines de mètres sur la route vers le Vigan. Je trouve un « spot » pour faire du stop et m’y installe. Je pensais ne pas y rester longtemps, mais…
C’est dimanche ! Et il n’y a vraiment pas grand monde qui passe. La première heure, seules deux voitures sont passées sans s’arrêter. La première était complète tandis que la seconde semblait être du coin vu les gestes effectués par le conducteur. Pas grave, il ne pleut pas !
La suite de la journée ressemble à la première heure. Attendre en vain qu’une voiture s’arrête. Malheureusement pour moi, cela ne sera pas le cas. Mais heureusement, j’avais un plan de secours pour me rendre au Vigan.
En effet, une amie, Lélie, m’avais proposé de venir me chercher à L’Espérou, car elle n’était pas très loin en sortie. Pour ne pas l’embêter, je lui avais dit que j’essayerai d’abord le stop et l’appellerai si nécessaire. Mais après 4 heures d’attente, et voyant l’heure tourner, je me décide à l’appeler. Quelques dizaines de minutes plus tard, elle me récupère avec son ami.
Arrivé au Vigan, je prends possession d’un cottage prévu pour 6 personnes, mais dans lequel je serai seul. Nous partons tous les 3 boire un verre en ville et revenons avec des pizzas.
Une journée tranquille.
Demain, direction Le cirque de Navacelles.
Les partenaires de Résilience Volcanique
